Hélène Fauriat écrit sa résistance dans un cahier d’écolier. Elle y raconte aussi sa déportation en Allemagne où elle passe Noël 1944 dans le kommando de Schönefeld, près de Berlin.
Au cours de l’été 1943, elle intègre le réseau de renseignement Gallia avec son mari Marcel par l’intermédiaire de Jean Schlochow, dit Max, qui est chargé de son développement dans le Poitou et la Vendée. Ils rejoignent ensuite les Forces Françaises Combattantes.
Fin mai 1944, elle est arrêtée par la Gestapo et déportée en Allemagne jusqu’à sa libération un an plus tard tandis que Marcel s’évade de la marche de la mort en provenance de Dachau.
Durant toutes ces épreuves, Hélène Fauriat n’a jamais cessé d’aider ses compagnes de détresse, Françaises, Hongroises, Polonaises ou Yougoslaves, avec qui elle garda des liens indéfectibles après leur retour des camps.
La préface de Michel Chaumet présente le réseau Gallia auquel appartenaient Hélène et Marcel Fauriat.
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